A l'approche de Noël, la question des cadeaux semble cruciale. Non pas que nous soyons intéressés ni égoïstes ni pourris gâtés. Mais il est temps d'enfin demander le cadeau que nous n'aurions jamais sans cette occasion. 
Personnellement, je penche pour un sac. Et que ça, parce que j'ai des gouts de petite fille riche et pourrie gâtée, moi. Non pas que ce soit une qualité. Parce que mon eastpack, très pratique oui oui tout à fait, glisse sur mon trench. (Pauvre petite.) Mais enfin, c'est la crise les enfants! Ce sac risque de nécessiter l'hypothèque de la maison. Je me contenterai donc d'un nouveau Nick Hornby. (Un livre mes amis, un liiivre. Trop génial j'ai trop hâte. Sans aucune ironie. Je vous parlerai de ce mec génial plus tard.)

Pour retourner au sujet, j'adore les guirlandes. Et tout ce qui brille, en fait, mais c'est une pathologie dont je ne préfère pas parler. Mais les guirlandes, est-ce vraiment une nécessité de les accrocher trois mois avant? Ca me gache la joie d'être en décembre, parce que du coup, on y est depuis octobre. J'ai hâte qu'il neige. S'il neige. Parce qu'à Bordeaux, cinq millimètres de neige suffisent à bloquer toutes sortes de transports. Et en plus c'est joli.
Et même si la normandie c'est chiant (grands parents obligent), là bas il neige forcément. Et je verrai ma mamie, ce héros! Et mon cousin, ce rebelle, mais c'est un autre sujet.

Faites moi des bisous, c'est Noël!